Jour 140 - Mardi 17 Mai

Aujourd’hui, nous longeons la côte Est de Gisborne à Whakatane avec une liste de points d’intérêt sélectionnés la veille. Le premier d’entre eux nous emmène à la découverte de Tolaga Bay Wharf, la plus grande jetée du pays. Autrefois utilisée pour le commerce, elle dispose aujourd’hui d’une finalité purement touristique. Il y a beaucoup de vent si bien que l’on se satisfait de la moitié de sa distance.

Au déjeuner, nous cuisinons un Chili Con Carne face à la mer. Nous faisons quelques heures plus tard la rencontre du plus vieil arbre Pohutukawa s’élevant à 22 mètres.

La côte sauvage est particulièrement jolie à partir de Waihau Bay. Néanmoins, la région ne nous inspire vraiment pas confiance depuis ce matin. Il n’y a pratiquement personne et nous nous sentons mal regardées par le peu que nous croisons. Paranoïa ou pas, ce sentiment se confirme en soirée lorsque nous nous faisons réprimander par des Maoris lors d’un arrêt photo sur le bord de la route. Nous décidons de rouler jusqu’à tard dans la nuit pour atteindre Whakatane.

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Jour 141 - Mercredi 18 Mai

Après une bonne grasse mat’, nous roulons sous des trombes de pluie, traversons Te Puke - la capitale du kiwi - avant de faire escale dans une bibliothèque un peu plus loin. Notre futur voyage au Vanuatu ne va pas se préparer tout seul d’autant plus qu’il n’existe pas de guide touristique à son égard. Nous consacrons donc quelques heures pour organiser notre périple dans les grandes lignes.

Nous rejoignons un camping situé au pied du Mt Maunganui que nous gravirons demain.

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 Jour 142 - Jeudi 19 Mai

Nous grimpons tranquillement le Mt Maunganui dans la matinée. Le sommet offre une belle vue sur la station balnéaire et les alentours. Nous roulons le reste de la journée en direction d’Auckland. Étant donné qu'il n’y existe pas de camping gratuit, nous nous stoppons à une cinquantaine de kilomètres pour dormir sur un parking autorisé en ville d’où nous captons même la wifi (fait rarissime pour une soirée !). En s’endormant, nous réalisons qu’il s’agit peut-être de notre dernière nuit dans le van…